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Aiguat : terme catalan utilisé pour décrire une crue de forte ampleur.
Affluent : cours d'eau qui alimente un autre cours d'eau plus important.
Affouiller : creuser, excaver : le cours d'eau affouille la rive.
Anthropique : qui est dû directement ou indirectement à l'action de l'homme.
Aléa : notion qui caractérise l'élément perturbateur, conditionné par des facteurs extérieurs, susceptible de provoquer des modifications aux sols, à l'écosystème et de porter atteinte aux personnes, aux biens et aux activités.
Alluvion : dépôt laissé par un cours d'eau dont la charge excède la capacité de charriage.
Aquifère : formation géologique contenant de façon temporaire ou permanente de l'eau mobilisable et capable de la restituer naturellement ou par exploitation (pompage...).
Assainissement : ensemble des techniques de collecte, de transport et de traitement des eaux usées et pluviales d'une agglomération, d'un site industriel ou d'une parcelle privée avant leur rejet dans le milieu naturel.
Atterrissements : accumulations de matériaux (terre, limon, sable, graviers, cailloux...) qui se forment et émergent dans les cours d'eau. Les atterrissements qui apparaissent au milieu des cours d'eau forment des îles ou îlots.
Autoépuration : ensemble des processus biologiques, chimiques et physiques permettant à un écosystème aquatique équilibré de transformer ou d'éliminer les substances qui lui sont apportées (pollutions...).
Avifaune : ensemble des espèces d'oiseaux.
Bassin Versant : représente un secteur géographique dans lequel toutes les eaux de ruissellement se concentrent vers un seul cours d'eau collecteur. Le Bassin versant du Tech est délimité par une ligne de partage des eaux : au sud, par la ligne de crête allant du Massif des Albères au Costabone et au Nord par la ligne de crête du Massif du Canigou et des Aspres.
Berge (= rive): bord d'une rivière, d'un canal.
Biocénose : ensemble des êtres vivants qui peuplent un écosystème donné.
Biodiversité : elle rend compte de la diversité biologique d'un espace donné en fonction notamment de l'importance numérique des espèces animales et végétales présentes, de leur originalité ou spécificité.
Biotope : aire géographique correspondant à un groupement d'êtres vivants soumis à des conditions dont les dominantes sont homogènes : le biotope de la truite est constitué par des eaux douces, pures, fraiches et oxygénées.
Biseau Salé: partie d'un aquifère côtier envahi par l'eau salée généralement d'origine marine.
Bois de Chauffage : ensemble des bois destinés à être brûlés pour chauffer les habitations ou pour l'agrément ou utilisés pour le charbonnage.
Bois d'industrie : bois destiné à la fabrication de pâte de cellulose ou encore à la fabrication des panneaux en fibres et particules.
Bois d'Oeuvre : bois débité à des dimensions convenant pour la fabrication d'éléments de construction (aménagement, meubles...).
Bois taillis : jeune formation arborée obtenue grâce à une intervention régulière de l'homme par recépage au niveau de la souche : les bords de cours d'eau étaient jadis traités en taillis ou bois taillis.
Boues d'épuration : mélange d'eau et de matières solides séparées, par des procédés biologiques ou physiques, des divers types d'eaux usées qui les contiennent.
Bouture : multiplication végétative des végétaux à partir d'une partie prélevée sur une plante mère.
Bras mort : ancien bras plus ou moins déconnecté du lit principal d'un cours d'eau du fait du déplacement de celui-ci au fil des temps ou des mécanismes de sédimentation. Les bras morts sont des annexes fluviales qui jouent un rôle souvent important dans la dynamique des crues (stockage, ralentissement) et l'équilibre écologique du cours d'eau (lieu de reproduction, de repos...).
Buddleïa : autre nom du Lilas du Japon. Plante envahissante des abords des cours d'eau importée de l'Himalaya pour l'ornement des jardins. Famille des Loganiacées.
Captage : dérivation d'une ressource en eau. Désigne tout ouvrage utilisé couramment pour l'exploitation d'eaux de surface ou souterraine.
Carrière : gisement de substances minérales exploitées qui peut être superficiel, souterrain, alluvial ou en roche massive.
Cavernicole : se dit d'une espèce nichant ou vivant dans des cavernes, des trous d'arbres... Les chauve souris sont des animaux cavernicoles.
Cépées : ensemble des brins issus des rejets d'une même souche.
Chablis : désigne les arbres arrachés, déracinés.
Champ captant : zone englobant un ensemble d'ouvrages de captages prélevant l'eau souterraine d'une nappe.
Cône de déjection : accumulation détritique effectuée par un cours d'eau à son extrémité aval (confluence, embouchure).
Confluence : lieu de rencontre de deux cours d'eau.
Coupe rase : exploitation systématique de tous les arbres présents sur une parcelle.
Courbe de niveau : courbe qui réunit tous les points de même altitude.
Court-circuité : se dit d'un cours d'eau auquel on soustrait artificiellement tout ou partie de son débit du fait d'aménagements de type prise d'eau, canaux, microcentrale...
Couvert forestier : proportion de la surface couverte par la projection verticale des houppiers de l'ensemble des arbres d'un peuplement.
Cristallins : se dit d'une roche formée par solidification, en profondeur, d'une masse minérale en fusion. Le granite est une roche cristalline.
Crue : période de hautes eaux, de durée plus ou moins longue, consécutive à des averses plus ou moins importantes.
Curage : travaux ayant pour objectif l'enlèvement des sédiments qui s'accumulent dans le lit des cours d'eau.
Débardage : opération d'exploitation forestière consistant à amener les arbres abattus depuis la parcelle jusqu'à une place de dépôt où un camion viendra les chercher.
Débit : volume d'eau qui traverse une section transversale d'un cours d'eau par unité de temps (m3/s).
Débit réservé : débit minimum que doit restituer un ouvrage installé sur un cours d'eau (prise d'eau hydroélectrique, canal d'irrigation...) fixé par la réglementation et qui doit permettre à minima le respect des cycles de vie élémentaires de la faune aquatique (reproduction, alimentation, croissance, migration...).
Débroussaillement : intervention consistant à supprimer la végétation arbustive dans une parcelle, un pare-feu ou un bord de piste.
Déclaration d'Intérêt Général : dossier réglementaire soumis à enquête publique obligatoire lorsqu'une collectivité souhaite entreprendre des travaux utilisant des fonds publics sur des terrains privés.
Dépressage : il a pour but de faire baisser la densité des arbres. Généralement, il permet de sélectionner les arbres à conserver d'après leur qualité afin d'encourager leur croissance.
Déprise agricole : abandon des activités agricoles dans un secteur donné, souvent synonyme d'un départ des populations.
Déstabilisation : se terme s'utilise pour évoquer un phénomène de sapement ou d'érosion en particulier au niveau des bases des ouvrages de franchissement de cours d'eau (ponts, passages à gué...), des ouvrages de protection de berges (enrochements, gabions, murs...) ou encore des ouvrages transversaux (seuils) et de la végétation rivulaire (arbres). Les déstabilisations sont généralement provoquées par des perturbations du transit sédimentaire du cours d'eau (déficit).
Domanial : terrain qui appartient à l'Etat. Cours d'eaux domaniaux, forêts domaniales...
Drainage : opération qui consiste à faciliter l'écoulement des eaux dans des terrains engorgés.
Eclaircie : intervention consistant à baisser la densité des arbres pour maintenir leur croissance, les sélectionner sur leur qualité et conserver un bon état sanitaire et une bonne stabilité au peuplement.
Eclusée : modification brutale du niveau de l'eau à l'aval d'un ouvrage (barrage, centrale hydroélectrique) conséquence de la manipulation de vannes.
Ecosystème : c'est un groupe de communautés biologiques qui se partagent un même milieu physique. L'air, la terre, l'eau et les organismes vivants, interagissent pour former un écosystème.
Ecrêtement des crues : action consistant à limiter le débit de pointe d'une crue, soit par stockage dans un ouvrage spécifique, soit par extension et mobilisation des zones d'expansion des crues naturelles.
Effluent : se dit d'un fluide ou d'un gaz qui émane d'une source. Ce terme est généralement utilisé pour définir les eaux résiduaires sortant d'un système d'épuration, d'une décharge etc.
Elagage : action qui consiste à couper les branches d'un arbre.
Embâcle : accumulation de matériaux transportés par les flots (bois mort, détritus...) bloqués en amont d'un ouvrage, dans la végétation ou dans un secteur de cours d'eau particulièrement étroit.
Embouchure (=exutoire) : point le plus en aval d'un bassin hydrographique, où passent toutes les eaux de ruissellement drainées par le bassin. L'embouchure du Tech avec la méditerranée est située au niveau de la Réserve Naturelle du Mas Larrieu.
Endémique : se dit d'une espèce animale ou végétale qui ne vit naturellement que dans à un site précis : le Koala est endémique de l'Australie.
Enjeux : personnes, biens, activités ou moyens susceptibles d'être affectés par un phénomène naturel.
Entretien des cours d'eau : ensemble des actions courantes et régulières visant à conserver d'une part les potentialités de l'écosystème aquatique (biodiversité, écoulement, filtration...), d'autre part à satisfaire les usages locaux et à protéger les infrastructures et les zones urbanisées.
Envahissante : se dit d'une plante ou d'un animal, généralement introduit (volontairement ou non), qui tend à se développer de façon exponentielle, souvent au dépend des écosystèmes locaux. Ces espèces peuvent être à l'origine de dérèglements biologiques et de désagréments pour l'homme : buddleïa, renouée du Japon, jussie, canne de provence, écrevisse américaine, poisson chat...
Erosion : ensemble des phénomènes créés par la dégradation et la réduction du relief, le transport et l'accumulation des matériaux arrachés et déplacés.
Erosion progressive : phénomène d'incision latérale ou horizontale généralement lié à l'action de l'eau sur une surface érodable.
Erosion régressive : phénomène d'incision verticale (érosion du lit du cours d'eau) lié à un déficit de sédiments à l'aval d'un cours d'eau.
Espace de liberté : espace du lit majeur à l'intérieur duquel le ou les chenaux fluviaux assurent des translations latérales permettant la mobilisation des sédiments ainsi que le fonctionnement des écosystèmes aquatiques et terrestres.
Essartage : coupe à ras de la végétation : essartage simple. L'essartage seul n'est efficace sur le plan géomorphologique que s'il s'accompagne de la suppression des souches et si le banc de sédiments est assez bas pour être mobilisé.
Etiage : période de basses eaux. En général l'étiage le plus important apparait durant l'été.
Eutrophisation : phénomène matérialisé par un fort développement végétal (phytoplancton, algues et plantes supérieures) particulièrement consommateur d'oxygène et causé par un apport excédentaire de matière nutritive (azote et phosphore) d'origine anthropique (agriculture, station d'épuration...).
Extraction de matériaux : action de prélèvement de matériaux alluvionnaires dans le lit d'un cours d'eau, les vallées et terrasses principalement à des fins d'exploitation.
Fleuve côtier : ce terme est utilisé pour décrire des cours d'eau de faible linéaire, souvent caractérisés par une pente moyenne forte, se jetant directement dans la mer ou l'océan.
Frayère : lieu de reproduction des poissons.
Gabion : cube en grillage métallique dans lequel on entasse des cailloux pour former des murs.
Génie écologique : discipline qui souhaite promouvoir l'utilisation de matériaux "écologiques" pour assurer la réhabilitation des cours d'eau et des berges. Le génie végétal qui utilise les plantes notamment pour fixer les berges est une variante du génie écologique.
Géomorphologie : discipline qui étudie les formes du relief et leur mobilité, leur dynamique.
Granulats : ensemble des constituants (sables, graviers cailloux...) que l'on retrouve dans le lit des cours d'eau.
Grau : souvent utilisé pour définir l'exutoire en mer d'un étang littoral, le terme de "grau " peut également être utilisé pour désigner l'embouchure d'un petit fleuve côtier en mer : le grau de la Riberette est inclus dans le périmètre de la Réserve Naturelle du Mas Larrieu.
Gravière : plan d'eau d'origine artificielle créé par extraction de granulats et alimenté essentiellement par la nappe souterraine.
Gué : endroit d'un rivière où l'on peut passer sans perdre pied.
Halieutique : qui qualifie toutes les activités relevant de la pêche sous toutes ses formes.
Houppier : ensemble des ramifications d'un arbre situées au dessus du fût.
Hydrobiologie : science qui étudie la vie des organismes aquatiques.
Hydroélectricité : énergie électrique obtenue grâce à l'action de l'eau actionnant une turbine.
Hydrogéomorphologie : analyse des conditions naturelles et anthropiques d'écoulement des eaux dans un bassin versant.
Hydrogéologie : partie de la géologie qui s'occupe de la recherche sur les eaux souterraines.
Hydrologie : toute action, étude ou recherche, qui se rapporte à l'eau, au cycle de l'eau et à leurs propriétés mécaniques, physiques ou chimiques.
Incision : phénomène d'enfoncement du lit d'un cours d'eau sous l'action de l'érosion.
Induré : devenu dur.
Inféodé : se dit d'une espèce liée étroitement à un type de milieu.
Inondation : envahissement par les eaux de zones habituellement hors d'eau pour une crue moyenne.
Intensité : expression de la violence ou de l'importance d'un phénomène, évaluée ou mesurée par des paramètres physiques (hauteur, vitesse...).
Labourage : retournement de la partie supérieur d'une parcelle (sur une épaisseur de 3 à 4 fois le diamètre des matériaux les plus grossiers).
Lais = laisses de crues : matériaux apportés par les eaux.
Laminage : amortissement d'une crue avec diminution de son débit de pointe et étalement de son débit dans le temps par effet de stockage dans un réservoir.
Lit majeur : espace situé entre le lit moyen et la limite de la plus grande crue historique répertoriée.
Lit mineur : espace fluvial, formé d'un chenal unique ou de chenaux multiples et de bancs de sables ou galets, recouvert par les eaux coulant à pleins bords avant débordement.
Lit moyen : espace situé entre le lit mineur et le lit majeur, concerné par les débordements des crues fréquentes (annuelle, Quinquennale).
Maître d'Oeuvre : concepteur des travaux.
Maître d'Ouvrage : propriétaire et financeur de l'ouvrage.
Maîtrise foncière : politique consistant pour une collectivité à maîtriser l'usage des milieux aquatiques au niveau du droit des sols, soit par maîtrise de la propriété, soit par convention de gestion avec les propriétaires.
Marais : zone basse où se sont accumulées sur une faible épaisseur des eaux stagnantes et qui est caractérisée par une végétation particulière (plantes des milieux humides).
Mare : petite étendue d'eau dormante.
Morphodynamique : c'est l'évolution dynamique des formes.
Mouille : creux du lit d'un cours d'eau, en opposition à un radier.
Modélisation : quantification et spatialisation d'une crue pour une occurrence donnée par le biais d'outils mathématiques.
Monospécifique : qui ne concerne qu'une espèce.
Nappe d'accompagnement : nappe d'eau souterraine en connexion avec un cours d'eau.
Nappe phréatique : formation hydrogéologique d'eau souterraine = aquifère.
Nappe captive : nappe d'eau souterraine piégée au niveau d'un substrat imperméable.
Nuisible : utilisé ici pour définir une espèce animale ou végétale, souvent introduite, susceptible de créer un déséquilibre écologique et de ce fait classée comme nuisible au regard de la réglementation. Le poisson chat est classé nuisible, son transport est interdit.
Passe à poissons : dispositif implanté sur un obstacle naturel ou artificiel (barrage) qui permet aux poissons migrateurs de franchir ces obstacles pour accéder à leurs zones de reproduction ou de développement.
Phasage : action de mener de façon différenciée et étagée dans le temps des travaux précis et non inversibles.
Pionnier (plante pionnière) : premier organisme capable de s'installer sur un milieu rendu vierge par des évènements naturels ou d'origine anthropique.
Plaine alluviale : unité géographique qui représente la basse plaine d'un cours d'eau, caractérisée par des pentes faibles et des zones inondables généralement étendues.
Pliocène : désigne la dernière période de l'ère tertiaire.
Profil en travers : série de relevés topographiques effectués en travers d'un cours d'eau.
Profil en long : série de relevés topographiques représentant la pente d'un cours d'eau.
Racinaire : désigne ce qui est propre aux racines des végétaux.
Radier : maçonnerie sur laquelle sont établies les écluses, les piles de pont... Ou Tronçon d'un cours d'eau caractérisé par une faible hauteur d'eau en opposition à mouille.
Ralentissement dynamique : phénomène naturel ou d'origine anthropique qui tend à favoriser le ralentissement des vitesses d'écoulement de l'eau lors des crues. La végétation des berges est le principal outil naturel du ralentissement dynamique.
Recalibrage : action qui consiste à modifier l'axe et la capacité d'écoulement d'un cours d'eau afin d'éviter les débordements.
Recépage : intervention consistant à couper une cépée le plus près possible du sol.
Récurrence : se définit par rapport à la fréquence. La fréquence d'un évènement est la probabilité pour qu'advienne chaque année cet évènement. La période de retour (ou récurrence) est l'inverse de la fréquence.
Rejet de souche : jeune brin qui se développe au printemps suivant la coupe.
Ressource thermale : terme utilisé pour définir l'ensemble des activités liées à l'exploitation des eaux thermales.
Revégétalisation : action qui consiste à replanter ou à favoriser la repousse naturelle sur des secteurs de cours d'eau mis à nus suite à des érosions ou des aménagements.
Ripisylve : désigne les formations végétales qui croissent le long des cours d'eau.
Risque majeur : il se définit comme la confrontation d'un aléa avec des enjeux humainement importants ayant pour conséquence une catastrophe soit naturelle, soit technologique.
Rivulaire : qui se trouve sur ou dans la rive.
Rupture verticale : modification brutale et ponctuelle de la pente moyenne d'un cours d'eau, matérialisée par une chute d'eau. Elle peut être d'origine naturelle (cascade) ou anthropique (seuil, passage à gué, barrage..).
Scarification : griffage de surface pour rompre la croute consolidée des sédiments.
Seuil : ouvrage en rivière permettant de casser la dynamique d'un cours d'eau (protection contre les crues), créant à l'amont une stagnation parfois utilisée pour l'alimentation des prises d'eau.
Sous-solage : travail du sol effectué avec un outils armé d'une à plusieurs dents qui descendent en profondeur dans le sol et cassent son homogénéité.
Substratum : utilisé ici pour désigner la formation géologique argilo-marneuse compactée et imperméable normalement située sous un manteau de sédiments grossiers qui constituent la charge solide habituelle du cours d'eau (blocs, cailloux, galets, graviers et sables).
Taillis (=bois taillis) : peuplement forestier composé par des brins issus de rejets de souches coupées.
Tarissement : assèchement d'une ressource.
Traitement primaire : terme utilisé dans le processus d'épuration des eaux usées et qui comprend l'action des unités suivantes : le dégrilleur, le déssableur et le déshuileur-dégraisseur.
Traitement secondaire : terme utilisé dans le processus d'épuration des eaux usées et qui comprend l'action des unités suivantes: le décanteur-digesteur, le lit bactérien et le bassin d'aération.
Transport solide : ensemble des matériaux transportés par un cours d'eau lors d'une crue (bois morts, blocs, cailloux, graviers, sables, déchets solides...).
Ubiquiste : adjectif qualifiant un organisme qui peut vivre dans de nombreux milieux différents.
Urodèles : sous classe de batraciens conservant leur queue à la métamorphose (triton, salamandre, euprocte...).
Usages : terme qui désigne l'ensemble des activités liées au milieu aquatique (activité industrielle ou agricole, loisirs, détente, sport...).
Végétaliser : action de mettre en place des végétaux dans le but de favoriser la recolonisation végétale des talus ou des berges.